Parce qu'il est sévèrement burné, Christophe Conte, dans sa bafouille sur Cabrel, asticote aussi Charles Aznavour, devant lequel, c'est à n'en point douter, il donnerait du «Monsieur»… Lorsqu'il chroniquait sur France Inter sous l'ombre du brushing effrayant de Pascale Clark, fallait voir comme Conte astiquait les invités de la «journaliste», Shy'm et papy Daho en tête. «Conte démonte Cabrel» donc, mais démontre surtout qu'il n'est qu'un type prévisible, alors que la prévisibilité n'est franchement pas un signe de verdeur intellectuelle. Alors, faut-il seulement rire de ses propos vides? Même pas, la prose est plate à mourir.
Qu'un artiste de la variété s'émeuve publiquement n'est pas ordinaire (tous rêvent encore en secret d'un inutile écho dans les Inrocks); qu'il ait l'esprit libre d'un Baguian (dont Nougaro disait: «Écoutez-le bien, c'est un écrivain de chansons») ajoute du sel. Voici donc ci-dessous la réaction de Vincent Baguian à la boule puante de France Télévision. Quant au disque de Cabrel, qu'en dire encore? Qu'il sonne carrément, comme rarement en France, qu'il abrite des surprises, superbe Voix du crooner, et couve de magmatiques émotions: la contrebasse de Paganotti sur À chaque amour que nous ferons par exemple. D'ailleurs, Conte sait-il seulement qui est Bernard Paganotti?
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«Critiquons la critique» (par Vincent Baguian).
C'est France 4 qui produit ça. Et avec nos sous de la redevance. Alors, moi, je suis pour la critique, à mort. Mais si c'est pour traiter les vieux de gâteux, les provinciaux de ploucs et dégommer les artistes méchamment et sans aucun argument, je peux faire pareil et sans oseille : critiquons la critique de la même manière.
Christophe Conte est un gros con aigri, sans doute à cause d'un physique ingrat mais gras. Il veut faire parler de lui absolument, mais comme il ne sait rien faire il se fait remarquer en disant systématiquement du mal de ceux qui font. Il vit sur le dos des artistes à la manière des tiques, mais en recrachant son fiel parce que la nourriture n'est pas à son goût. Il est engraissé par nos deniers car des producteurs douteux du service public pensent qu'il dit bien le mal qu'ils n'osent pas dire eux mêmes; et qu'ils en tirent profit. Ce gros Conte dénonce le climat de dépression carabiné qui règne en France sans se rendre compte qu'il en est l'un des contributeurs, adepte du dénigrement qui met les rieurs dépressifs de son côté. L'album de Francis Cabrel ne pouvait toucher un aussi grossier personnage qui ne se gargarise qu'au sang et se croit incorruptible alors qu'il est simplement Inrock inutile (jeu de mot à la hauteur de celui qu'il fait sur le concours Lépine; je ne vais pas me fouler non plus, y'a pas de raison que je lui prouve que j'ai plus de talent que lui, puisque de toute manière il ne le reconnaîtra jamais).
Christophe Conte est un gros con aigri, sans doute à cause d'un physique ingrat mais gras. Il veut faire parler de lui absolument, mais comme il ne sait rien faire il se fait remarquer en disant systématiquement du mal de ceux qui font. Il vit sur le dos des artistes à la manière des tiques, mais en recrachant son fiel parce que la nourriture n'est pas à son goût. Il est engraissé par nos deniers car des producteurs douteux du service public pensent qu'il dit bien le mal qu'ils n'osent pas dire eux mêmes; et qu'ils en tirent profit. Ce gros Conte dénonce le climat de dépression carabiné qui règne en France sans se rendre compte qu'il en est l'un des contributeurs, adepte du dénigrement qui met les rieurs dépressifs de son côté. L'album de Francis Cabrel ne pouvait toucher un aussi grossier personnage qui ne se gargarise qu'au sang et se croit incorruptible alors qu'il est simplement Inrock inutile (jeu de mot à la hauteur de celui qu'il fait sur le concours Lépine; je ne vais pas me fouler non plus, y'a pas de raison que je lui prouve que j'ai plus de talent que lui, puisque de toute manière il ne le reconnaîtra jamais).