Comme un malaise

Après JULIETTE, après ZIZI, après JEANNE, après DANI, après JANE, voilà FRANÇOISE. Puisque c'est ainsi qu'Étienne Daho rend depuis des lustres ses hommages funestes, d'un seul prénom écrit en majuscules sur ses réseaux, qu'il illustre toujours d'une photo iconique. Sauf qu'aujourd'hui, 11 juin 2024, l'ami des stars, ce Jean-Claude Brialy new-look (la classe et la pudeur en moins), s'est fendu d'un reportage in situ, allant jusqu'à dépeindre les derniers instants de Françoise Hardy qu'il aura “veillée tard dans la nuit”, “allongée” dans sa chambre de l'hôpital américain, mais si belle “belle, apaisée”. Gênant. Gênant venant d'un ami, d'“un membre de la famille” comme il s'auto-place sans vergogne, qui parle d'une femme dont la discrétion fut la suprême élégance. Aura-t-il fait un selfie?... Papy top tombé dans le rance.

Baptiste Vignol